LOCALIZZAZIONE PROGETTO: 1929 Trient
ANNO DI ULTIMAZIONE: 2013
INOLTRO DEL PROGETTO: Prix Lignum 2015
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SPECIE DI LEGNAME MAGGIORMENTE IMPIEGATA: abete bianco
DETTAGLI DEL PROGETTO: Costruzione nuova, Abitazione monofamigliare
PROMOTORE DEL PROGETTO: LACROIX CHESSEX SA, Simon Chessex, GenèveARCHITETTURA/PIANIFICAZIONE: LACROIX CHESSEX SA, Simon Chessex, Genève
ESECUZIONE DEI LAVORI IN LEGNO: Amedée Berrut, Daniel Berrut, Collombey-Le-Grand
INGEGNERE: Kälin & Romolotto, jean-François Kälin, Lausanne
ULTERIORI:
, Olivier + Céline Unternährer, Trient
DESCRIZIONE BREVE:
La maison aux Jeurs, du nom d’un hameau qui surplombe la route du col de la Forclaz, est un projet qui puise ses racines dans la mémoire des lieux en interprétant la forme et l’échelle des constructions traditionnelles avoisinantes.rnrnA l’image des raccards valaisans, il est composé d’un socle minéral sur lequel repose un volume de bois foncé, éloigné du sol. Comme la réalisation d’un seul grand volume aurait rompu l’harmonie d’échelle du lieu, l’édifice se divise en deux parts reliées par le dispositif d’entrée, côté montagne, pour s’ouvrir sur la vallée selon un angle de 45° degrés.rnrnDepuis l’amont, on ne perçoit ainsi qu’une seule silhouette en forme de « M », rappelant celle des montagnes, alors que l’on découvre depuis l’aval deux volumes décollés du sol, archétypes des maisons d’enfants.rnrnDeux grandes fenêtres, l’une dans le salon, au rez, et l’autre dans la chambre principale au premier, font pénétrer le paysage à l’intérieur de la maison. Les fenêtres sises sur les deux façades qui se font face créent une relation visuelle entre les deux parties du chalet.rnrnLa structure en sapin brut, revêtue d’un bardage vertical en planches de mélèze teinté, posée sur une dalle en béton et un sous-sol semi-enterré, la spatialité intérieure décomposée en éléments de petite dimension jouant avec les niveaux sont autant d’éléments qui confèrent au projet une atmosphère proche des chalets traditionnels.rn
La maison aux Jeurs, du nom d’un hameau qui surplombe la route du col de la Forclaz, est un projet qui puise ses racines dans la mémoire des lieux en interprétant la forme et l’échelle des constructions traditionnelles avoisinantes.rnrnA l’image des raccards valaisans, il est composé d’un socle minéral sur lequel repose un volume de bois foncé, éloigné du sol. Comme la réalisation d’un seul grand volume aurait rompu l’harmonie d’échelle du lieu, l’édifice se divise en deux parts reliées par le dispositif d’entrée, côté montagne, pour s’ouvrir sur la vallée selon un angle de 45° degrés.rnrnDepuis l’amont, on ne perçoit ainsi qu’une seule silhouette en forme de « M », rappelant celle des montagnes, alors que l’on découvre depuis l’aval deux volumes décollés du sol, archétypes des maisons d’enfants.rnrnDeux grandes fenêtres, l’une dans le salon, au rez, et l’autre dans la chambre principale au premier, font pénétrer le paysage à l’intérieur de la maison. Les fenêtres sises sur les deux façades qui se font face créent une relation visuelle entre les deux parties du chalet.rnrnLa structure en sapin brut, revêtue d’un bardage vertical en planches de mélèze teinté, posée sur une dalle en béton et un sous-sol semi-enterré, la spatialité intérieure décomposée en éléments de petite dimension jouant avec les niveaux sont autant d’éléments qui confèrent au projet une atmosphère proche des chalets traditionnels.rn