CENTRE SPORTIF DES ISLES
LOCALIZZAZIONE PROGETTO: 1400 Yverdon-les-Bains
ANNO DI ULTIMAZIONE: 2011
INOLTRO DEL PROGETTO: Prix Lignum 2012
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SPECIE DI LEGNAME MAGGIORMENTE IMPIEGATA: abete rosso
DETTAGLI DEL PROGETTO: Costruzione nuova, Impianti sportivi
PROMOTORE DEL PROGETTO: Ueli Brauen + Doris Wälchli, .. .., LausanneARCHITETTURA/PIANIFICAZIONE: Ueli Brauen + Doris Wälchli, B + W architecture, Filipe De Pinho, Lausanne
ESECUZIONE DEI LAVORI IN LEGNO: JPF Construction SA, Frédéric Bussard, Bulle
INGEGNERE: Bureau d'études Weinand, Yves Weinand, Liège, Belgique
ULTERIORI:
Ducret-Orges SA, , Jean-Marc Ducret, Orges
CSD Ingénieurs SA, , Philippe Pavid, Yverdon-les-Bains
Weinmann-Energies SA, , Stéphane Pahud, Echallens
Louis Richard Ingénieurs Conseils SA, , Jean-Yves Conrad, Orbe
Tecsan, , Christian Zosso, Ollon
Losinger Marazzi SA, , Erwan Quilliec, Bussigny-près-Lausanne
DESCRIZIONE BREVE:
La construction du nouveau centre sportif, dont les trois salles additionnées offrent la surface nécessaire à des compétitions nationales, relève de l’exercice structurel de haute voltige : terrain remblayé exigeant des pieux vibrés à –25 m, fermes de bois lamellé-collé exerçant une pression de 25 tonnes par point, façades pignons fonctionnant comme des poutres triangulées… Mais le projet a su transformer certaines de ces contraintes en opportunités formelles : jeu des fermes et des contreventements derrière les plaques de polycarbonate opales et dans la géométrie duquel s’inscrivent les percements des façades goutterots, léger déhanchement, angles suspendus, zones d’entrée ménagées dans le large renfoncement du socle des pignons où la dalle fait office de marquise… A l’intérieur, le couloir d’accès aux terrains, volontairement sombre pour mieux conduire à la lumière, n’est pas sans évoquer l’arène antique, impression redoublée par le fait qu’à l’ouest, les gradins descendent jusqu’au niveau du sol dit sportif. Texte de Nadja Maillard
La construction du nouveau centre sportif, dont les trois salles additionnées offrent la surface nécessaire à des compétitions nationales, relève de l’exercice structurel de haute voltige : terrain remblayé exigeant des pieux vibrés à –25 m, fermes de bois lamellé-collé exerçant une pression de 25 tonnes par point, façades pignons fonctionnant comme des poutres triangulées… Mais le projet a su transformer certaines de ces contraintes en opportunités formelles : jeu des fermes et des contreventements derrière les plaques de polycarbonate opales et dans la géométrie duquel s’inscrivent les percements des façades goutterots, léger déhanchement, angles suspendus, zones d’entrée ménagées dans le large renfoncement du socle des pignons où la dalle fait office de marquise… A l’intérieur, le couloir d’accès aux terrains, volontairement sombre pour mieux conduire à la lumière, n’est pas sans évoquer l’arène antique, impression redoublée par le fait qu’à l’ouest, les gradins descendent jusqu’au niveau du sol dit sportif. Texte de Nadja Maillard
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